
Plan IGN
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Photos aériennes / IGN
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Au départ de la Place de Quesques pour une randonnée de 8.1 km vers les hauteurs du village puis descente vers le Hameau du Verval.
Ce sentier communal est actuellement en cours de balisage.
Si vous désirez avoir la liste des restaurants et hébergements, nous mettons à votre disposition un guide touristique à l'OT de Desvres ou cliquez sur le lien ci-dessous :
www.calameo.com/read/005551459e5610f263654
Vous avez la possibilité de télécharger cette rando avec les fichiers GPX. Ces fichiers vous permettent d'exporter le tracé de votre randonnée sur votre GPS.
Soyez acteur de la qualité de vos sites de pratiques ! Suricate permet de signaler les problèmes que vous rencontrez quand vous pratiquez.
Une erreur de balisage, un panneau défectueux, un problème de pollution, un besoin de sécurisation, un conflit avec un propriétaire ou d’autres pratiquants… Remplissez le formulaire, localisez le problème et envoyez.
Votre signalement sera traité par le réseau Suricate animé par le Pôle ressources national des sports de nature du ministère chargé des sports.
www.sentinelles.sportsdenature.fr/
ou vous pouvez nous contacter à l'Office du Tourisme 03.21.92.09.09.
ou ot@cc-desvressamer.fr
L'église sous le vocable de Saint-Ursmar était dans le doyenné d'Alquines. Elle a été entièrement rebâtie en 1842 par les soins de M. l'abbé Mancion, ancien religieux bernardin de Clairmarais et natif de Samer.
aint Ursman (ou Ursmen) est né vers 644 aux environs d'Avesnes-sur-Helpe, dans le Hainault dans un lieu qui pourrait être Fontenelle dans l'Aisne qui est rattaché aujourd'hui à Floyon. Ce prénom proviendrait d'un dérivé d'Ours et de Mer ou Mare.
Dès sa plus tendre enfance, comme le précise Bollandus, « On lui fit étudier l'écriture sainte avec beaucoup d'application. La sainteté de sa vie fut un fruit de cette excellente étude ». Un autre de ses biographes, Waulde, le qualifie « d'enfant très agréable à tout le monde pour la facilité de son esprit et sa candeur ».
Avec le recul, il faut évidemment être très prudent sur ces propos. Très jeune, saint Ursmar devait entrer au monastère de Lobbes, dans la partie Belge du Hainaut. Ce disciple de Saint Amand fut consacré prêtre vers 670. Dix années plus tard, il devenait premier prêtre. Ce proche de Pépin le Bref était certainement évêque en 697, lorsqu'il consacra l'église de Lobbes.
Il partit ensuite évangéliser la Flandre, les Fagnes et la Thiérache. Avant de mourir en 713, il désigna son successeur : saint Erme. La Saint-Ursmar est célébrée le 19 avril en souvenir de la date de son décès le 18 avril. Pour abriter sa dépouille, une nouvelle église fut édifiée et un culte populaire se développa.
On lui attribuait de nombreuses vertus. Celle de protecteur des jeunes enfants semble la plus couramment admise. Ses reliques furent transférées à Binche en 1409. À Quesques, la plus ancienne trace attestée de saint Ursmar se trouve dans l'église, où la cloche de 1769 porte son nom.
Au milieu du XIXe siècle, il était invoqué pour les maux de dents. Dans l'édifice, figure encore, une ancienne statue et le dicton suivant lui est attribué : « Saint Ursmar pend la dernière neige de l'an ».
Article paru dans la voix du nord du mercredi 27.05.2009
Hauteur de 115 m
Culte Catholique Ou Orthodoxe
chapelle érigée en 1855 par Alphonse Lemaire né à Quesques, et Victoire Gilquin son épouse né à Chantilly dans l'Oise. A Notre Dame de Bon Secours.
Alors que la plupart des puits du Boulonnais ressemblent à des petites constructions de pierres maçonnées en ogive, celui-ci était constitué d'une charpente à colombages posée sur un muret de silex et couverte d'un chaume de seigle.
Cette architecture particulière n'est pas simplement la conséquence d'une situation géographique différente ici sur le plateau. aussi curieux que cela puisse paraître, ce n'est pas la recherche de l'eau qui avait motivé l'aménagement de ce puits, c'était le charbon !
En effet, vers 1701 les habitants du Verval ont bénéficié de l'abandon d'un forage réalisé par des prospecteurs en quête de ce précieux combustible.
C'est ainsi que l'eau qui avait arrêté les mineurs, fit le bonheur des villageois. Car à l'époque, sur ce plateau crayeux, seule la récupération des eaux de ruissellement dans des "fonds" enduits d'argile, permettait d'approvisionner les foyers.
Délaissé depuis l'installation des canalisations sous pression en 1976, ce puit a été restauré à l'initiative du Parc Naturel Régional des Caps et Marais d'opale et du Syndicat des Eaux de Quesques.
Le hameau du Verval est distant du centre du village de plusieurs kilomètres. Sa plus grande particularité, c’est de culminer à 185,49 mètres, au repère de nivellement de l’ancienne école. Si l’on compare avec l’altitude du cœur de la commune qui est de 101 mètres, cela représente une différence de 84 mètres avec le village, ce qui explique les importantes variations de températures qui sont parfois relevées.
Malgré des recherches, il a été impossible à ce jour de déterminer la date de réalisation du puits de ce hameau. Longtemps, il a servi à fournir l’eau potable aux habitants de ce lieu retiré. Sa profondeur est estimée à 60 brassées, ce qui pourrait faire penser que l’eau qui coule au pied du puits et la même qui alimente les sources de La Liane situées au cœur du village. On ose imaginer le travail que sa construction à nécessité et les importants moyens qui ont été employés par la population pour s’approvisionner en eau potable.